Espace-Lycée

Les figures de style dans les sept premiers chapitres de La Boîte à merveilles d’Ahmed SEFRIOUI

ÉnoncésFigures de style
« Ma solitude ne date pas d’hier »La litote
« Le soir, il rentre le cœur gros et les yeux rougis. »Métaphore
« Les lendemains de ces fêtes étaient des jours mornes, plus tristes et plus gris que les jours ordinaires. »  Personnification
« Je me levais de bonne heure pour aller au Msid, école coranique située à deux pas de la maison. » (P. 03)Périphrase
« La chouafa gémissait, se plaignait, conjurait, se desséchait dans des nuages d’encens et de benjoin. » (P. 03)  Gradation
« Ma mémoire était une cire fraîche et les moindres événements s’y gravaient en images ineffaçables. » (P. 06)  Métaphore
« J’étais seul au milieu d’un grouillement de têtes rasées, de nez humides. »Synecdoque
« Un grand maigre à barbe noire, dont les yeux lançaient constamment des flammes de colère. » (P. 08)  Synecdoque
« Toutes ces femmes parlaient fort, gesticulaient avec passion, poussaient des hurlements, inexplicables et injustifiées. » (P. 09)  Gradation
« Elle me sortit du sceau, me jeta dans un coin comme un paquet. » (P. 11)Comparaison
« (Elle) m’emporta à moitié mort à l’air frais sur l’estrade aux baluchons. » (P. 11)Hyperbole
« Dans la boîte à merveilles, il y avait une foule d’objets hétéroclites qui, pour moi seul, avaient un sens: des boules de verre, des anneaux de cuivre, un minuscule cadenas sans clef, des clous à têtes dorée, des encriers vides, des boutons décorés, des boutons sans décor. Il y en avait en matière transparente, en métal, en nancre. Chacun de ces objets me parlait son langage. » (P. p. 12-13)        Énumération
« On voyait naître le drame, on le voyait se développer, atteindre son paroxysme et finir dans les embrassades ou dans les larmes. » (P. 14)  Gradation
« Le matin, débordante d’enthousiasme, elle ne manquait jamais, le soir, de trouver quelque motif de querelle ou de pleurs. » (P. 14)  Chiasme
« Ma mère, se cachant le visage dans ses deux mains, poussa un long sanglot et se mit à pleurer à chaudes larmes. » (P. p. 17-18)  Hyperbole
« Chacune des antagonistes, penchée hors de sa fenêtre, gesticulaient dans le vide crachait des injures que personne ne comprenait, s’arrachait les cheveux. Possédées du démon de la danse, elles faisaient d’étranges contorsions. » (P. 19)    Gradation
« C’était une tempête, un tremblement de terre, le déchaînement des forces obscures, l’écroulement du monde. » (P. 19)  Gradation
« Je n’en pouvais plus. Mes oreilles étaient en supplice, mon coeur dans ma poitrine heurtait avec force les parois de sa cage. Les sanglots m’étouffèrent et j’écroulai aux pieds de ma mère, sans connaissance. » (P. 19)    Gradation

2 commentaires

Laisser un commentaire

Votre adresse courriel ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Back to top button
error: Le contenu est protégé !!

Nous avons remarqué que vous bloquiez nos publicités.

Soutenez Le Site et ses auteurs, qui œuvrent chaque jour à vous livrer un produit de qualité, en désactivant votre bloqueur de publicités.