« Il y a encore, parmi les soins dus aux vignes, un autre travail, et qui n’est jamais épuisé : il faut en effet trois ou quatre fois l’an fendre tout le sol, et en briser éternellement les mottes avec le revers des bidents ; il faut soulager tout le vignoble de son feuillage. Le travail des laboureurs revient toujours en un cercle, et l’année en se déroulant le ramène avec elle sur ses traces… »