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Lecture comparative des trois œuvres au programme autour de l’axe: Education et autorité (1) (Thème: l’enfance)

L’on ne saurait imaginer une éducation sans autorité. Celle-ci soutient celle-là. Voire l’éducation serait vouée à l’échec en l’absence d’une certaine forme d’autorité. Pratiquement, l’autorité rend l’éducateur respecté et l’enfant réceptif à l’éducation. Or, le problème que pose l’utilisation de l’autorité en matière d’éducation, c’est le degré de cette dernière car y recourir de façon outrée risque d’inhiber et de paralyser l’enfant tandis que s’en passer, en accordant lui accordant trop de liberté, c’est produire des délinquants et des tyrans à qui le sens de l’obéissance fait défaut. L’issue serait donc de concilier autorité et liberté en éducation de manière à garantir à l’adulte une sorte de pouvoir qui n’empêche pas l’épanouissement de l’enfant. Cela étant posé notre propos ici est d’examiner le rapport entre éducation et autorité dans les trois œuvres au programme : les livres I et II d’Émile ou de l’éducation de Jean-Jacques ROUSSEAU, les Contes de Hans Christian ANDERSEN et Aké, les années d’enfance de Wole SHOYINKA et ce à partir des trois points suivants : il sera question dans le premier de l’éducation autoritaire, dans le deuxième de celle laxiste et dans le troisième…

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